

Rédacteur en chef
MeeKar Lim
Rédactrice de la mode internationale
Suna Moya
Rédactrice en chef adjointe
Zhang XiaoXiao

Veuillez contacter :
media-works@qcegmag.com
or
WeChat:QCEGMAG_Contact
QCEG MAG est une publication qui propose une sélection d’actualités dans les domaines de la mode, de la beauté, des accessoires, des célébrités, des arts vivants, du sport, des voyages, ainsi que des vidéos associées à travers le monde. Notre portail est actuellement disponible en anglais et en chinois pour nos lecteurs et spectateurs internationaux.
Découvrez notre équipe de professionnels et leur créativité passionnée sur QCEGPro.com.

Quand la mode rencontre le cinéma, le passé s’embrase — et une nouvelle héroïne s’élève sous les lumières étincelantes de Paris.
Réputé pour son cercle fidèle de célébrités et sa passion éternelle pour le glamour, Christophe Guillarmé fusionne une fois encore cinéma, couture et rébellion dans une célébration de la féminité assumée. Né sur la Côte d’Azur, il a grandi à l’ombre de Cannes, où le tapis rouge fut à la fois terrain de jeu et salle de classe — un univers de flashs, de traînes de soie et de femmes transformant chaque apparition en œuvre d’art. Cet héritage lumineux imprègne ses créations, ancrant son « glamour pop rebelle » dans la décadence ensoleillée du Sud et la précision de la couture parisienne.
Pour le Printemps–Été 2026, Guillarmé remonte la pellicule jusqu’à l’une des décennies les plus libres de la mode — les années 1980 — en canalisant le rythme effervescent de Desperately Seeking Susan, le film culte qui fit de Madonna la grande prêtresse de l’individualité.
Sur le podium, cette même énergie irrévérencieuse prend vie. La muse de Guillarmé est audacieuse et magnétique — une Susan des temps modernes qui traverse la ville comme une chanson : son énergie est électrique, son charme indomptable. Les jupes de tulle s’animent, baignées de nuances de mauve, de jaune et d’écarlate, tandis que les robes en jersey micro-pailleté scintillent comme la ligne d’horizon au crépuscule. Le créateur réinvente la célèbre veste du film — désormais minutieusement réalisée avec un col brodé — une pièce manifeste qui murmure la confiance et rugit l’indépendance.
Présenté au mythique Balajo à Paris, le défilé s’est déroulé comme une rêverie cinématographique. Les robes patchwork capturaient la lumière dans un rythme effréné, évoquant l’âge d’or de MTV, lorsque la mode était une attitude et que chaque instant exigeait sa propre bande-son.
La fusion singulière de l’audace glam-rock et de l’artisanat haute couture définit la collection — une symphonie vibrante de volume, de couleur et de charisme. Les racines de Guillarmé dans l’univers du tapis rouge et du cinéma nourrissent cette narration, évoquant une femme qui entre dans la lumière non pour être remarquée, mais pour être inoubliable.
Chaque couture vibre de mouvement ; chaque silhouette pulse de vitalité. Guillarmé ne copie pas la nostalgie — il la ranime, modelant l’anarchie des années 80 en une couture dangereusement moderne.
Cette saison, Christophe Guillarmé célèbre la femme qui brille plus fort que les lumières qui l’entourent — une diva rock drapée de tulle et d’insolence, animée par le rythme, la rébellion et la radiance.
— SUNA MOYA
CHRISTOPHE GUILLARMÉ COLLECTION PRINTEMPS/ÉTÉ 2026 — « SEEKING SUSAN »
“Christophe Guillarmé insuffle l’énergie glamour des années 80 dans une mode en mouvement — une fusion éblouissante de cinéma, de couture et de féminité intrépide.”




Images du défilé gracieusement fournies par CHRISTOPHE GUILLARMÉ
Scénographie : GIL TARDIEU
Directeur photo : FRÉDÉRIC POUZIN
Reporter vidéo : FISHEYEFILM
Photo reporter : PRESSCREA – GORUNWAY BY LAUNCHMETRICS SPOTLIGHT
Maquillage : CAMPUS DES MAQUILLEURS
Coiffure : RAPHAËL PERRIER & ELYSÉES MARBEUF
